– J’ai hésité à vous faire un billet spécial pour vous raconter mon mois d’août, mais nous sommes déjà le 20 septembre alors je me suis dit que j’allais vous proposer des petites informations en vrac avec, pour commencer, un petit résumé d’août.
– Nous avons passé 15 jours à Groix avec une météo assez capricieuse. Certaines journée étaient un peu longuettes parce que très humides et fraîches et d’autres ont été bien plus agréables. Notre amie Mimi était sur l’île en famille avec quelques amis et nous avons vécu deux jours en très grand groupe, super chouette pour les adolescents qui ont fait ensemble une virée à la plage de nuit et pour les parents qui ont passé des bons moments à se baigner, à manger et à discuter (beaucoup). Et puis notre amie Irish Coffee et son fils nous ont rejoint pour les deux derniers jours.
– J’ai ensuite pris la direction de Lannion avec Irish Coffee pour retrouver des copines pendant que MMM, les enfants et Papet faisaient leur périple en vélo entre Rennes et Saint-Malo. J’ai passé la semaine à visiter Lannion, Plougrescant, Ploumanac’h et puis Rennes (notamment l’expo Forever Sixties) tout en travaillant au manuscrit de mon roman.
– Les deux semaines avant la rentrée ont été consacrées à vider la chambre de l’apocalypse (celle dans laquelle on range tout notre bazar quand on loue la maison), à faire le ménage, à préparer les cartables, à habiller les enfants (qui ont fait des poussées de croissance de folie)… Cependant, nous sommes allés presque tous les jours à la plage et avons profité au maximum de notre cadre de vie.
– Voilà deux bonnes semaines que l’école a repris et cette année, je me sens un peu bousculée par la reprise, certainement parce que nous avons passé deux jours à Paris la semaine dernière avec Petite Gavotte pour un rendez-vous et parce que nous avons déplacé un week-end avec des copains en raison d’un enterrement. Nous avons enchaîné les galères, comme cela arrive parfois, avec notamment un pneu crevé qui nous a fait perdre 4 heures et un Covid qui m’a fait monter à 39,3°C. Tout est de nouveau à peu près en état de marche (enfin, je parle pour moi car la voiture arbore toujours sa galette – je vais chez le garagiste demain) et j’espère bien que ce n’était qu’un petit passage à vide…
– On a repris le surf… à 4 ! Eh oui, cette année les filles nous accompagnent. Je suis complètement piquée et je me demande comment je vais faire sans surfer entre le mois d’octobre et le mois d’avril quand l’école ferme… On va dire que ça sera le bon moment pour mettre le paquet sur la kiné pour mon épaule, mon genou et pour soigner tous les petits bobos que je laisse s’installer parce que j’ai cette croyance que si je ne m’en occupe pas, ils vont disparaître d’eux-mêmes (mais non).
– J’écris ce billet depuis un coworking que je teste pour la première fois. Ce que je peux déjà vous dire, c’est que j’avais un besoin profond de sortir de chez moi car je ne parvenais plus à y être productive et que j’avais déjà rempli tous les objectifs de ma journée à 14h après avoir mangé mon sandwich face à la mer. Je n’ai pas envie de travailler tous les jours loin de chez moi, mais une ou deux fois par semaine, ça sera déjà bien. Histoire d’apprécier les deux modes de fonctionnement à leur juste valeur sans trop subir leurs inconvénients.
Je vous embrasse et vous dis à très vite !
10 commentaires
Ma pauvre tu as encore eu le Covid, tu n’as pas de chance sur ce coup là. Espérons que ce sera la dernière!
J’ai un rythme d’un tous les 18 mois ^__^
Oui, sortir de chez soi pour travailler ça aide souvent à s’y mettre effectivement ! C’est une espèce de sas de transition entre deux activités, deux facettes de nous.
Parfois je fais ça aussi et ça m’aide : pour les tâches administratives de mon activité en libéral je vais bosser au cabinet, alors que je pourrais tout aussi bien les faire à la maison ! Ça m’évite de me déconcentrer car le chat est venu réclamer des câlins / à manger, de me disperser car j’ai vu que le linge était sec sur l’étendoir et que je pourrais le ranger (ah non c’est vrai, je bosse, là), de devoir lutter contre l’envie de regarder un p’tit épisode de ma série préférée du moment pendant que je déjeune ( l’épisode dure plus longtemps que je ne mange).
Même psychologiquement, quand je vais bosser au cabinet j’ai l’impression d’enfiler un uniforme qui me fait endosser pleinement le role de professionnelle.
Ça marche pour moi !
J’espère que ton roman avance comme tu veux !
Chouette un billet avec des nouvelles en vrac !☺️
Par contre, ce qui est moins cool, c’est les enchaînements de galère à répétition qui arrivent toujours au mauvais moment (en même temps, existe-t-il un « bon » moment ??? On s’en passerai bien !). J’espère que le Covid vous laissera tranquille.
Pour la pause surf, tu vas certainement être bien occupée par ton roman n°2 j’imagine dans les semaines/mois à venir, non ? Après, c’est certain qu’on est pas sur une dépense physique
Profites en en effet pour te remettre en forme. Ici aussi j’ai tendance à fermer les yeux sur les petits problèmes de santé en pensant la même chose, et d’ailleurs sur les tâches administratives (phobie administrative puissance 1000)
Belle journée à toi !
Pour le roman 2, une fois qu’il sera sorti, ça va être plus calme (je n’ai pas de promo particulière prévue), c’est surtout le fait de surfer qui va me manquer…
Pour l’administratif, je t’avoue que c’est aussi ce que je déteste le plus… Haut les coeurs !
On s’occupe des petits bobos, hop, hop ,hop 😉 (dit celle qui laisse trainer aussi …)
Bises et belle journée !!
Hop hop hop, tu prends rendez-vous toi aussi !
Quel plaisir de lire les nouveaux articles. Pour ma part la rentrée me fait souvent l’effet d’un rouleau compresseur surtout pour la reprise du rythme effréné. Celui des vacances est tellement plus simple. Et cette année est d’autant plus particulière car mon organisation change, je n’ai plus d’enfants le midi à la maison. J’ai plus de temps pour moi mais au final je suis un peu perdue…
Ah oui, je vois bien… Genre : par où je commence ? Ce qui me sauve dans ces cas-là : téablir un plannings avec les taches à faire et les prioriser.
Aïe aïe aïe encore le covid …. mince, effectivement je trouve que cette rentrée 2023 est particulièrement pénible …
J’ai fait comme toi ces dernières années, à occulter mes douleurs pensant qu’elles allaient disparaître mais chez moi non plus ça n’a pas marché et maintenant je dois faire des tonnes d’examens pour poser le diagnostique et me soigner 🙁 …
Bon courage à toi et les tiens !