En vrac du 20 octobre 2021

– Merci pour tous vos chouettes messages sur mon dernier billet ! Je me rends compte qu’il n’était pas super gai, pourtant, cette 43ème année restera comme une année très importante alors, avec un peu (une semaine, haha) de recul, je l’aime déjà beaucoup plus.

– Bravo à Little qui est la seule à avoir trouvé… Pour les 10 ans de Fleur de Sel, nous partons en Grèce. Oui, elle va bien avoir 12 ans en décembre, c’est juste que nous n’avons pas eu l’occasion de partir plus tôt ! Direction Paros, Santorin, Athènes, Le Météores, Epidaure, Olympie… Un nouveau road-trip (sans camping-car cette fois-ci). Je ne sais pas encore si je partagerai et si je le fais, comment, tout ça sur les réseaux sociaux. Instagram me donne l’impression de faire pipi dans un violon et je ne comprends rien à la mise en page de Facebook (c’est officiel, je suis une vieille blogueuse). N’hésitez à partager vos bons plans en commentaires, je sais que vous avez toujours de bonnes idées !

– Ce Mercredi 20 octobre à 18h, je participe à une rencontre (gratuite) à la médiathèque Anjela-Duval de Riantec afin de parler de mon premier roman et de mon travail d’autrice en général. Je dédicacerai également mes ouvrages avec grand plaisir (et il y a un « pot » ensuite). Venez, ça sera sympa (je sais que je préviens tardivement, le chat avait mangé mon billet) !

– Côté yoga kundalini, je reprends les cours hebdo du mardi de 12h à 13h15 par Zoom à partir du 9 novembre. Je vais envoyer une newsletter à celles qui sont inscrites et remettre à jour la page « planning yoga » d’ici la fin de la semaine.

– Autre super nouvelle (oui, c’est le billet des annonces), je co-anime un atelier de yoga kundalini jeudi le 11 novembre sur l’intuition avec mon ami Julien, Govind Bhajan de son nom spirituel. Je l’ai rencontré lors de ma formation niveau 1 en 2020. Enseignant depuis plusieurs années dans la région de Grenoble, il met son don pour la musique au service de la pratique du yoga kundalini de manière subtile et inspirée. C’est donc avec une joie non dissimulée que je vous propose cet événement spécial en sa compagnie, avec de la musique live ! Pour réserver vos places (nombre limité et pas de replay pour préserver le cadre intime) à cet atelier, cliquez ICI.

Profitez-en, c’est un jour férié !

– Ces dernières semaines au rythme haché m’ont donné la vilaine impression que tout repartait dans le mauvais sens : enfants malades, moi aussi, enfants insolents, moi pas calme du tout face à eux… Chercher de nouveaux chemins, c’est surtout reprendre l’ancien des centaines de fois avant de les trouver. Dimanche, j’ai commencé le sublime et ultra difficile puzzle offert par MMM pour mon anniversaire. Ça a tourné au pugilat familial. On réessaye en revenant de Grèce, en écoutant des mantras…

– Notre Petite Gavotte nationale a participé au cross de l’école (et non interscolaire comme les autres années, Covid oblige). Elle a voulu participer à la course de CM2 alors qu’elle n’est qu’en CM1 et a couru 15 minutes alors qu’elle était en PLS sur le canapé la veille avec une toux de fumeuse de Gitanes…

– Allez, je termine avec une dernière info… La semaine passée, Quibe, l’artiste qui a dessiné la couverture du roman, m’a fait l’honneur de dessiner mon portrait. Je repose ici ce que j’ai écrit sur Instagram : « C’était une simple feuille punaisée au-dessus d’une table de nuit. Une seule ligne dessinait le profil d’une femme endormie, complètement abandonnée. J’ai l’ai contemplée longuement, comme si elle allait se réveiller. La personne dessinée m’a parlé de l’artiste et j’ai retenu son nom : @quibe. J’ai alors suivi son travail sur Instagram et sur Twitter, j’ai admiré la grâce qu’il mettait dans chacune de ses lignes. Quelques années après, j’osais lui demander un œuvre pour la couverture de mon premier roman, il a fait mieux que ça, il m’en a créé une tout spécialement pour l’histoire. Quel cadeau incroyable.
Et cet après-midi, alors que je sortais d’une longue pratique de yoga kundalini, j’ai découvert le dessin que vous voyez sur ce post. « Elle est belle », ai-je pensé. Avant de réaliser. C’était moi, sous la plume de Quibe. J’ai pleuré (vous me connaissez…) de gratitude devant ce trésor tombé du ciel. C’était comme si la méditation que je venais de faire prenait vie dans la matière.
Merci Christophe de m’avoir donné ainsi vie, sous ton trait délicat ».

J’espère que vous allez bien et  je vous embrasse bien fort.