The light in the darkest night

Art d’illustration par Callie Danielle

Calendrier de l’Avent : chaque jour un billet sur ce blog du 1er au 24 décembre. JOUR 19

Souvent, après mes méditations ou tout simplement dans la journée, je griffonne des petits bouts de papier des morceaux de phrases, des mots, des idées qui me traversent, en français ou en anglais. La plupart du temps, ça n’a pas vraiment de sens. Parfois, les phrases s’assemblent comme les pièces d’un puzzle et j’y découvre un poème ou une chanson.

Je vous confie l’un d’eux, mon préféré. Et j’envoie un tendre baiser à la petite Marjolaine qui écrivait des poésies pour les membres de sa famille à Noël et un autre à la Marjolaine lycéenne qui a rempli des feuilles à carreaux de poèmes d’amour pour un garçon qui ne les a jamais lus.

 

THE LIGHT IN THE DARKEST NIGHT

In the dark

With my heart in my hands,

I was climbing this mountain

I was scared the Sun will never rise again.

I was looking for the Light,

I didn’t know I was the Light.

 

In the dark.

Terrified by the unknown

I was staring at the diamond,

Waiting in vain for its pure Light.

I was cut in two,

I didn’t know I was the Light.

 

I am the Light in the darkest night.

 

I am the Light

I am pure Light

And so you are.

 

We are the Light in the darkest night.

 

By His grace,

We are the Light

By Her grace

We spread the Light.